En Guinée, la crise politique n'en finit pas et prends des tournures inquiétantes. Suite à un premier appel
qui avait échoué, l'opposition à la junte au pouvoir vient de lancer une nouvelle "opération ville morte" de deux jours, qui cette fois est une réussite. Le monde nous décrit ICI l'ambiance qui régne dans le pays. Entre les deux opérations s'est déroulé le 28 septembre une journée de violences et d'exactions de la part des militaires contre des manifestants. Cette opération ville morte n'est elle un succès qu'à cause de la terreur qui régne? Le New York Times, traduit par Courrier International ajoute de l'eau au moulin en révélant qu'un grand nombre de femmes auraient subi lors de cette journée des viols, des humiliations et passages à tabac. Ces actes ont été photographiés par leurs auteurs ainsi que par des témoins et les images circulent "sous le manteau" en Guinée : est ce là une erreur ou un nouvel outil de contrôle de la part de la junte? l'article ICI.Le potentiel un journal de RDC, relate une nouvelle montée de la tension entre RDC et Angola.
Il ne s'agit plus cette fois uniquement de querelles quant au tracé des frontières terrestres mais d'une dispute sur celui des frontières maritimes entre les deux pays. Derrière leurs arguments se cache bien sur le spectre du pétrole dont le plateau continental revendiqué est riche, mais aussi des enjeux économiques avec la construction de ports en eaux profonde. L'article ICI.Au Gabon, la polémique autour de l'élection contestée au poste de président du fils d'Omar Bongo, qui occupait le poste jusqu'à son récent décès, est apparemment terminée puisque le processus électoral a été validé. InfoplusGabon pose la question qui est sur toutes les lèvres : que va t il se passer maintenant? ICI.
En Algérie, El Watan annonce une rentrée mouvementée pour les lycéens puisqu'après les grèves et mouvement de protestations des enseignants ce sont les élèves qui ont fait le siège du ministère de l'éducation nationale et s'apprêtent à augmenter l'ampleur du mouvement. L'État fait pour l'instant la sourde oreille : des détails ICI.
La crise politique (qui dure maintenant depuis près de 3 ans) en Bosnie-Herzégovine serait elle sur le point de prendre fin? La plupart des acteurs l'espèrent : une suite de rencontre entre les différents partis politique, l'UE et les États unis a débuté vendredi dernier. Plusieurs solutions sont envisagées pour mettre fin à la paralysie du pays et notamment la rédaction d'un nouveau texte constitutionnel. Le courrier des Balkans revient en détails sur les tenants et les aboutissants du problème ICI
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